Séduit par cette approche, Pierre-Alexandre a proposé à Pascal deux lieux mégalithiques où la mémoire des soins « prodigués » par les menhirs ou dolmens aurait été conservée. Le site de Saint-Vincent-d’Agny a été retenu, car il réunit deux menhirs réputés : l’un pour traiter l’infertilité féminine, l’autre pour soigner la surdité.

Une fois le matériel adapté, Pascal et son épouse Dominique se sont rendus sur place le 16 juin 2024 pour effectuer une série de mesures. Les résultats se sont révélés concluants : les fréquences relevées correspondaient bien à celles associées aux maux ciblés, selon les bases de données Spooky2.

Suite à cette expérience prometteuse, Pascal et Pierre-Alexandre ont entrepris de visiter de nombreux autres sites afin d’enrichir leur base de données. Leur objectif est de publier, via les éditions Alkemia, un fascicule répertoriant ces « lieux qui soignent ». Ils envisagent également l’organisation de stages mêlant visites de sites sacrés, géobiologie et recherche de fréquences thérapeutiques.